C’est jeune, c’est drôle, c’est parfois cru mais aussi mélancolique: c’est le portrait de la jeunesse marseillaise des années 1990 dans le quartier du Panier. Mais que reste-t-il de cette génération insouciante, dont les relents méditerranéens constituaient son identité commune?
Entre gentrification et renouvellement urbain, c’est la ville entière qui entre dans l’arène, ainsi qu’un quadragénaire entre deux mondes qui peine à trouver sa place.
Cinq dans tes yeux, Hadrien Bels, Éditions de L’Iconoclaste, 256 p., 18 euros